J'ai toujours été le plus grand fan de Heath Slater, déjà du temps de son "run" solo à Smackdown en 2011, mais là, ça commence à sérieusement déconner.
Ce qui était appréciable chez lui, c'est son côté rejeté qu'aucune brand ne voulait, son histoire de "free agent" était intéressante. Ici, il obtient son contrat au bout d'un mois, seulement, de galère et se retrouve champion. Alors, c'est mérité, je ne dis pas, mais ça "emballé, c'est plié" beaucoup trop rapidement, la storyline avait du potentiel et on se retrouve avec un Slater qui pourrait bien être le successeur de Santino Marella dans les mois qui suivent, si on continue dans cette direction.
Le plus dommage, c'est que les Usos sont montrés comme les "heel" les plus forts de la division, face aux American Alpha, montrés comme de valeureux "face", et la première équipe se retrouve à perdre une deuxième fois en PPV contre un semi-jobber et un mid-carder solide, alors qu'elle a cruellement besoin de victoire pour crédibiliser son heel-turn, très réussi au passage et qui redonne un second souffle inespéré aux jumeaux.